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 Elyvianne N'Laylmastrim, Grande Prêtresse

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MessageSujet: Elyvianne N'Laylmastrim, Grande Prêtresse   Elyvianne N'Laylmastrim, Grande Prêtresse EmptyMer 2 Sep - 11:47
Elyvianne N’Laylmastrim
Elyvianne N’Laylmastrim

Race : Sylniasse
Age d'apparence : 26
Passeur : : Oui
Métier : Grande Prêtresse de Firaaany

Capacités
Capacité de Passeur:
Capacité raciale:
Surnom/Titre:


Elyvianne N'Laylmastrim
Grande Prêtresse de Fyraaany


Identité



Age
26 ans
452 ans

Origine
Sylniasse
Femelle
Cetliona

Situation
Oui
Prêtresse et Gardienne de son peuple


Appartenance
Oui
Connue par tous les siens
Non recherché
Capacités de Passeur
capable de la figer, geler, réchauffer, modeler dans son monde ; dans d'autres, peut la créer ou l'aspirer etc..
Capacités autres
Capable de transformer les atomes majoritairement présents dans leur environnement en un élément ingérable pour leur corps, peut ainsi respirer dans presque n'importe quel environnement.
Magie de base, la puissance des sorts augmente au fur et à mesure que l'individu vieillit (essentiellement de guérison et défensif)
Bâton, et magie à tout instant, arbalète et petites dagues à l'extérieur de son monde.
///


Informations Autres :
Sa peau doit être humide à tout instant ; de plus, son corps ne tolère que les aliments à base de produits marins, quels qu'ils soient.



Physique



Carrure
1m53
32kilos
Avance d'un pas fluide mais par petites enjambées sur la terre ferme, nage en rotation, bras croisés sur la poitrine, dans l'eau.
Traits généraux
Ronds, aux pupilles noires et à l'iris d'un vert-doré délicat et scintillant. De la même texture que des algues, leur apparence change tous les 6ans. Ils sont actuellement fins et d'un vert très sombre, lui arrivant au bas du dos.
Finement écailleuse, scintillante, d’un vert pâle, lisse au toucher bien que l’on sente les différentes écailles en promenant ses doigts dessus. Plus solide que la peau humaine. Les zones plus solides sont d'écailles émeraudes.
Particularités
En tant que Grande Prêtresse, elle se pare de bijoux d’un métal argenté et inoxydable, signes de son rang. De plus, elle dispose autour de la taille un pagne léger, fait d’algues décolorées et de coquillages blancs.


Mon Reflet :Les écailles du visage sont presque imperceptibles, hormis le bout du nez, le tour des yeux et des lèvres rendus un peu plus foncés. Les pieds et les mains sont recouverts d’écailles beaucoup plus solides et sombres, qui remontent jusqu’aux épaules et aux genoux, hérissées de piques plus ou moins longs et au bord tranchant. Autour des cuisses et du ventre poussent des nageoires en spirale, permettant une nage en « torpille » (rotation du corps sur lui-même). De la base de la nuque à mi dos poussent deux nageoires dorsales, vestiges des ailes de leurs ancêtres, permettant une stabilisation de la nage, mais pouvant également servir de stabilisateur aérien lors d’un saut hors de l’eau (façon poisson volant). Le visage est fin, gardant la finesse des traits elfiques, bien qu’un peu plus rond mais gardant le petit menton pointu. Les lèvres sont à peine pulpeuses, les yeux sombres paraissent très grands dans ce petit visage.  Ils sont pourvus de paupières elles aussi écaillées, qui ne se ferment qu’en cas de danger, supportant très bien eau douce comme eau salée. Les oreilles longues et pointues des elfes se sont agrandies, dépassant de la chevelure algueuse, devenant deux appendices extrêmement sensibles et fragiles servant de sonar à la créature. A l’intérieur de la cheville se trouvent deux petites ventouses permettant de joindre les deux jambes pour améliorer la nage tout en conservant sa mobilité sur la terre ferme. Les deux ailes, semblables à celles d'une libellule, qui tombent dans son dos au niveau des omoplates, passent généralement inaperçue, plaquées contre la chair



Mental



Traits générauxSérieuse. Dévouée. Ce sont les premiers mots qui décrivent le mieux Elyvianne. Son existence est entièrement tournée vers le bien de son peuple. Grande prêtresse de son ordre, elle veille avec une rigueur toute particulière à ce que tout soit parfaitement exécuté, remplissant ses tâches avec l’ardeur que procure la jeunesse. Ce qui ne l’empêche pas d’aimer le voyage et les découvertes.
Si elle sait se montrer accessible à chacun lorsqu’elle est avec les siens, elle n’aime en revanche guère les étrangers. La solitude ne lui fait pas peur puisqu’elle se sent proche de sa déesse, le temple étant pour elle le lieu de sérénité. Aussi n’a-t-elle pas vraiment d’amis, mais son rang ne lui permet guère de se lier à quiconque de son peuple, ce dernier se montrant souvent par trop respectueux de sa place pour oser se prétendre ami. Légèrement arrogante, persuadée d’être la meilleure chose qui a pu arriver à son peuple depuis longtemps, elle ne craint de renverser les coutumes ou de détruire une vie si elle l’estime nécessaire ; toutefois, elle n’apprécie guère la violence et la cruauté inutiles.


Atouts
Capable d'une très grande concentration, déterminée, souvent très calme et sérieuse, diplomate, rusée, charismatique, ambitieuse et dévouée.
Faiblesses
Arrogante, autoritaire, raciste, stricte, imprévisible, parfois sarcastique et blessante, intolérante à toute forme de rébellion.


Aspirations
S'imposer. Dans tous les mondes. Que chacun connaisse sa puissance et sa perfection.



Histoire



Un petit nez vert qui pointa timidement. Sortant de l’œuf, la petite frimousse observa autour d’elle avec curiosité, avant de se dégager complètement. Aussitôt, son squelette s’étira et, alors qu’elle s’affaissa au sol en un petit tas de chair, une main l’attrapa  pour l’attacher au mur. Quelques minutes, quelques heures, quelques jours. Le temps était une conception bien étrange pour ce petit bout. Il n’avait guère d’importance, si ce n’était pour les besoins vitaux. Mais elle sentait ses os, jusqu’alors mous pour rentrer dans l’œuf, se durcir à mesure que sa respiration se faisait et que sa conscience s’éclaircissait. Bientôt, elle fut libre ; et elle en profita.

Le nom fut décidé par la Grande Prêtresse, Naya, comme pour chacun. Elyvianne, la Mer de Brumes, un nouvel enfant Sylniasse, venait de venir au monde. La fille de l’une des Passeuses et d’un jeune noble de la Cour, mais cela n’importait guère sur le moment. De parents, il n’y en avait pas besoin. Elle avait le pouvoir. C’était cela qui guiderait sa vie. Naya l’avait perçu, qui attendait, patiemment, de ressurgir, de s’exprimer dans ce petit corps, bloqué, cherchant la clé de sa libération. Elle grandirait avec les Successeurs, tous ces jeunes qui devraient, à leur tour, devenir Gardiens le moment venu, et tous les autres qui trouveraient leur place comme assistants de la société. En attendant, elle fut placée, le temps de l’allaitement nécessaire à sa survie, dans une famille venant d’avoir elle-même un enfant sans pouvoir, les seuls qui grandissaient parmi les leurs. La majorité, après tout.

Huit mois. C’était le temps nécessaire pour que le corps se solidifie, les écailles deviennent rigides et les os se consolident. Après quoi, elle intégra l’école du temple. Huit petits mois, afin d’éviter tout attachement disproportionné. Les futurs Passeurs devaient être libres. Ils deviendraient des Gardiens, des protecteurs du peuple. Ils devaient se lier entre eux, car leur union et leur compréhension seraient leur force, mais aucune autre affection n’était autorisée. Pas de faiblesse, pas maintenant. Plus tard, peut-être, quand ils auraient tous consciences de leur importance, de la tâche qui leur incombait. Mais pas tant qu’ils étaient si manipulables. Huit mois. Le court laps de temps avant que la mémoire ne grave à jamais les visages croisés.

Les épreuves jalonnèrent son enfance et son adolescence tandis qu’elle grandissait, le vert de sa peau devenant d’émeraude et celui de ses yeux se parant d’or sombre, les pics de ses bras s’agrandissant et devenant tranchants comme une lame de glace. Accompagnant certains Passeurs, elle découvrit les différents plans, apprenant avec eux les bases de la survie. D’enfants magiques, comme elles, il y en avait peu de son âge, quelques-uns plus âgés, d’autres plus jeunes qui se rajoutaient. Peu importait. Tous n’étaient pas voués à rester. Certains abandonnaient, simplement, fuyant cette vie solitaire et les responsabilités qui pourraient leur échoir. D’autres craignaient les exercices que leur imposaient les maitres, destinés à faire éclore leurs pouvoirs. Mais Elyvianne persistait. Elle sentait au fond de son être comme un tourbillon prêt à l’engloutir s’il surgissait, et pourtant elle ne demandait qu’à le voir naitre, envahir le monde entier et la porter aux nues. Mais rien. Il restait là, bloqué, la frustrant affreusement. Aussi continuait-elle, sans se soucier des autres, sans leur adresser un seul regard tandis qu’eux se regroupaient pour partager leurs impressions, pour s’entraider, pour se connaitre. Oh, elle ne les rejetait pas réellement, car elle les tolérait et leur répondait lorsqu’ils venaient la voir. Mais elle ne faisait rien pour s’attacher à eux. Tout simplement.
Epée, bâton, arbalète, danse, chant, cérémonie du thé, cuisine, endurance, entrainements mentaux, découverte de Cetliona, Histoire du peuple… Chaque journée se succédait, épuisante, éreintante, mais toujours aussi passionnante. Toujours aussi enivrante, toujours pleine de promesses. Ceux qui ne pouvaient suivre trainaient à garder le rythme jusqu’à être renvoyés chez eux, ou, si leurs pouvoirs étaient déjà apparus, trouvaient leur place dans l’armée, l’enseignement, ou tout autre poste correspondant à leur don. Petite, solide, mais surtout déterminée, Elyvianne ne bronchait pas. Elle aurait ses pouvoirs, et elle s’étourdirait d’eux. Elle le voulait.

Les dernières années de formation arrivèrent assez vite, la majorité de ceux qui étaient encore présents ayant déjà développés leurs pouvoirs. Les épreuves devinrent classement, le vainqueur pouvant prétendre au titre de Grand Prêtre si Naya l’acceptait comme tel. Si tel n’était pas le cas, alors les prétendants de l’année suivante se présenteraient à leur tour. Et pendant ce temps, Elyvianne montait, gravissant les marches qui la séparaient de la première place. Pas seule, malheureusement, d’autant que le manque de liens ne jouait pas toujours en sa faveur, mais elle poursuivait ses ambitions. Grande Prêtresse, Gardienne Suprême de son peuple. Elle seule était capable de veiller au mieux sur ce dernier. Elle seule pourrait au mieux le protéger et guider le roi. Elle seule pouvait être Gardienne de toutes les Portes, gardienne du temple de la Grande Déesse, représentante Passeuse au sein de la Confrérie ! Elle était digne, digne de ce grade ! Ils devaient comprendre qu’elle était leur unique espoir ! Et quand elle voulait… elle pouvait. Aussi atteindre la place de première ne l’étonna nullement. Il était simplement normal qu’elle y arrive, elle avait tout donné pour cela. La seule chose qui l’étonna, ce fut qu’elle n’était pas la seule. Un autre candidat avait le  même résultat, un autre voulait lui voler la place. Ce n’était… pas possible. Il n’avait pas le droit de la concurrencer ainsi ! D’autant que rien, ni le froid glacial du dernier plan, ni les journées abandonnées sur la terre ferme, ni l’amour, ni la douleur, rien n’avait déclenché ses pouvoirs.

La cérémonie qui devait désigner, officiellement, la place de chacun avait lieu au grand temple. Pour l’occasion, chaque Passeur, gardien des portes et des temples, était venu. Deux vainqueurs, deux grands prêtres. L’Histoire avait déjà connu cela, la sombre période du Double, où chacun avait fini par déclarer la guerre à l’autre pour s’accaparer la charge, provoquant une guerre civile sans précédent sans que le roi ne puisse empêcher ce conflit qui se jouait dans l’ombre, à l’aide d’assassins et de poisons, de complots et de corruption. De longues années de souffrance et d’instabilité, où les morts avaient souillés l’eau pure de la ville, les cadavres flottants lamentablement jusqu’à la surface de l’eau, les lambeaux de chairs s’éparpillant lamentablement après avoir servi de repas à d’autres créatures. Deux vainqueurs, deux Grands Prêtres, et peut-être la même histoire qui se répéterait. Les lois étaient claires. Une épreuve ne pouvait départager que trois candidats minimum. Ils étaient deux. Le regard de Naya se fit inquiet, l’espace d’un instant, tandis qu’un voile sombre passait devant ses yeux. Le recrutement de nouveaux Passeurs-Gardiens ne se faisait que lorsque le Grand Prêtre le décidait, fatigué de sa charge et sachant qu’il devrait encore passer plusieurs années à terminer la formation de son successeur. Elle avait le choix entre continuer pendant 150ans, le délai minimum entre deux recrutements, attendre de voir ce que donnerait le prochain lot de prétendants ou tenter de prendre ces deux aspirants dans la crainte d’une nouvelle guerre future. D’autant qu’Evylianne était seule à ne pas avoir ses pouvoirs. Pouvait-elle seulement prendre le risque de prendre cette apprentie sans que rien ne puisse confirmer l’activation proche du Don ? Et pourtant… La force de ces deux-là était indéniable. Ils avaient atteint ce que peu d’autres étaient capable de faire. Il n’y en aurait sans doute pas d’aussi compétents avant longtemps.

Patiente, Elyvianne attendait le verdict. Elle ne connaissait que trop bien l’Histoire de ce peuple qu’elle aimait plus que tout, elle savait le risque qui l’attendait à monter au côté de son compagnon d’aventures. Un sacrifice… ll n’y avait pas le choix. L’un d’eux devrait se sacrifier, laisser sa place pour le bien de son peuple. Elle ferma les yeux un instant, crispant les mains sur son bâton de cérémonie. Il ne pouvait n’y avoir qu’une seule place. Ce ne pouvait être autrement, ce ne devait pas l’être. Pour le bien de chacun.

-Au nom de Firaaany, la Grande Déesse et Protectrice de notre peuple, par la volonté de sa Gardienne, moi, Naya, vous dévoile ceux qui guideront nos âmes et chemineront à la suite de mes pas. Cette fois, il n’y aura pas un mais deux candid…

La Grande Prêtresse s’arrêta brutalement, se figeant, le regard porté au sol. Le coup avait été net, brisant les os qui protégeaient le cerveau, défonçant les écailles, plus fine, de la nuque. Et, autour d’Elyvianne dont les mains agrippaient fermement un bâton taché d’un sang bleu-vert qui déjà se délitait dans l’eau environnante, l’eau bouillonnait. Son visage, extatique, son corps, arqué, son regard, empli de puissance. Elle avait trouvé. Elle avait trouvé, grâce à ce corps à présent sans vie prêt d’elle, la clé qui ouvrirait la porte de ses pouvoirs. Et chaque Passeur pouvait en goûter la puissance. Aucun doute ne leur était permis. Ils avaient trouvé la Grande Prêtresse en devenir, et son crime lui était, par sa seule existence, pardonné. Ils savaient qu’elle les protégerait. Elle vibrait de pouvoir, plus qu’aucun d’entre eux n’aurait pu imaginer. Elle était une enfant d’une Gardienne, un cas très rare, la seule qui était née depuis plusieurs années, car le pouvoir, semblait-il, se transmettait et s’amplifiait à chaque nouvelle génération le possédant. C’était cela peut-être qui l’avait mené si haut. Les quelques enfants de Gardiens qui étaient nés avaient toujours réussi à égaler leurs parents. Ils l’avaient dans le sang, et le pouvoir enfoui chantait pour leur victoire jusqu’à ce qu’ils l’atteignent.

L’apprentissage ne prit que quelques années de plus, une poignée de sable dans la vie d’une Sylniasse. Naya lui montra tout ce qu’elle savait, mais surtout, lui apprit l’écoute. La patience. L’amour de ce peuple, elle l’avait déjà, elle avait tué pour lui, pour lui offrir ce qu’elle estimait le meilleur : elle-même. Elle lui apprit à se servir des formidables pouvoirs qui étaient les siens, à figer l’eau, la geler, l’évaporer, la modeler à sa guise, l’extraire du corps d’un ennemi. Et, lorsque ce fut fait, elle partit. Il n’y avait qu’une seule Grande Prêtresse, et la nouvelle veilla personnellement à accompagner son mentor jusqu’à l’orée du sanctuaire sauvage, où nul ne pouvait y rentrer sans y trouver la mort. La fixant de son regard empli de détermination, elle leva doucement la main, et, gelant l’eau qui composait le corps de sa semblable, la pétrifia sur place avant de briser le corps d’un puissant coup de bâton, se servant de son pouvoir pour emporter les cristaux de chair dans des courants maritimes qui les déposeraient dans le sanctuaire. Naya serait morte, là était son destin, alors, pourquoi perdre de temps ? Elle lui avait simplement épargné une agonie incertaine. Pourquoi prendre le risque de la voir survivre et revenir un jour ? Il n’y avait qu’une seule Grande Prêtresse, et c’était elle, à présent, Elyvianne, qui remplirait ce rôle. Elle ne laisserait personne le lui prendre.


Liens
Naya, ancienne Grande Prêtresse. Tuée par ses soins.

Son peuple, presque son enfant.


Situation Actuelle
Grand temple de Firaaany



Manipulateur



Qui suis-je ?
Je SUIS Elyvianne @_@ Mouhahahaha !


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Elyvianne N'Laylmastrim, Grande Prêtresse
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